Le journalisme d’hier à aujourd’hui

Les journalistes de VOX ont eu un entretien avec Monsieur Bruno Lorvaot, célèbre documentariste du journal sans frontière. Lors de la conférence du 4 juin qui s’est déroulée à Paris, celui-ci nous a présenté avec beaucoup d’émotion le deuxième volet de la trilogie « le siècle des journalistes ».
Suite à cette présentation s’en est suivie une longue série de questions réponses entre Monsieur Bruno LORVAOT et les différentes rédactions. Au travers de ces questions, nous avons pu apercevoir le parcours de cette homme caractéristique avec beaucoup d’humour.
Celui-ci a choisi le métier de documentaliste : étant enfant, il aimait regarder les émissions bien que tous, nous sommes d’accord pour dire que ce métier est inintéressant à souhait et que comme nous l’a dit ce journaliste, le métier de documentaliste est « la dernière roue du carrosse du métier de journaliste ».
Enfin il nous a parlé de l’évolution du journalisme, nous faisant apercevoir un changement majeur passant d’une notion d’information à une notion d’information truquée par l’argent. En effet certaines rédactions choisissent les sujets à éditer et non plus le journaliste lui-même.
Nous voyons là tout le journalisme censuré par des médias superficiels qui ne voient que la rentabilité et le profit à gagner à l’édition ou non d’un sujet. Si les journalistes avaient révélé un quart des informations détenues sur l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, n’aurait jamais gagné les élections en 2007. Si les français privilégieraient les chaines d’informations « sérieuses » et non celle médiocres telle-que TF1 ou BFMTV. Les français sont-ils des moutons ? oui !
Il y aurait des notions d’informations plus véritables et non pas des informations biaisées par les rédacteurs qui ne voient que leur profit propre au détriment du peuple. De plus les informations sont reprises d’une rédaction à une autre ce qui participe à la diminution de l’authenticité de la source.
La communication doit être faites pour favoriser un enrichissement culturel. Cette expérience à était prouvée, nous a avoué le journaliste car il a tenté l’expérience avec l’un de ces proches.
Un peu de culture n’a jamais mangé n’y tué personne, alors, ne nous privons pas, écoutons les vraies chaines d’informations au lieu de se contenter de chaines qui ne délivre que partiellement les informations pour créer un vent de doute et de crise au sein de la société française. Changeons donc le métier de journaliste en lui donnant un réel sens.
Elodie
Suite à cette présentation s’en est suivie une longue série de questions réponses entre Monsieur Bruno LORVAOT et les différentes rédactions. Au travers de ces questions, nous avons pu apercevoir le parcours de cette homme caractéristique avec beaucoup d’humour.
Celui-ci a choisi le métier de documentaliste : étant enfant, il aimait regarder les émissions bien que tous, nous sommes d’accord pour dire que ce métier est inintéressant à souhait et que comme nous l’a dit ce journaliste, le métier de documentaliste est « la dernière roue du carrosse du métier de journaliste ».
Enfin il nous a parlé de l’évolution du journalisme, nous faisant apercevoir un changement majeur passant d’une notion d’information à une notion d’information truquée par l’argent. En effet certaines rédactions choisissent les sujets à éditer et non plus le journaliste lui-même.
Nous voyons là tout le journalisme censuré par des médias superficiels qui ne voient que la rentabilité et le profit à gagner à l’édition ou non d’un sujet. Si les journalistes avaient révélé un quart des informations détenues sur l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, n’aurait jamais gagné les élections en 2007. Si les français privilégieraient les chaines d’informations « sérieuses » et non celle médiocres telle-que TF1 ou BFMTV. Les français sont-ils des moutons ? oui !
Il y aurait des notions d’informations plus véritables et non pas des informations biaisées par les rédacteurs qui ne voient que leur profit propre au détriment du peuple. De plus les informations sont reprises d’une rédaction à une autre ce qui participe à la diminution de l’authenticité de la source.
La communication doit être faites pour favoriser un enrichissement culturel. Cette expérience à était prouvée, nous a avoué le journaliste car il a tenté l’expérience avec l’un de ces proches.
Un peu de culture n’a jamais mangé n’y tué personne, alors, ne nous privons pas, écoutons les vraies chaines d’informations au lieu de se contenter de chaines qui ne délivre que partiellement les informations pour créer un vent de doute et de crise au sein de la société française. Changeons donc le métier de journaliste en lui donnant un réel sens.
Elodie